Après avoir réfléchie à ce que j’allais faire, je pris la décision d’aller prendre un verre dans un bar pour me vider la tête. Une fois entrée dans le bar, j’aperçus une vingtaine de personnes c’était plutôt calme. J’appréciais l’ambiance, il y avait un vieux jukebox à gauche qui passait un morceau de blues et au milieu de la pièce un billard qui avait vécu, on pouvait voir le tapis abimé et le bois usé. Ensuite, je me mis à chercher les toilettes avant de m’avancer au bar, chose très importante lorsque l’on compte se prendre une cuite. Étant rassurée de voir qu’ils étaient au fond à gauche, je me dirigeais vers le bar, un tabouret était libre comme s’il n’attendait que moi. Une fois installée au bar, j’interpellais le barman :

- « Une bouteille de whisky, s’il vous plait ! »

Le barman s’exécuta et me donna ma bouteille, je voulais fumer, mais je devais demander la permission même si je connaissais d’avance la réponse, mais en me retournant vers le billard je m’aperçus qu’il y avait des hommes qui fumaient, j’en fis donc de même. J’étais donc heureuse de pouvoir profiter de cette soirée, avec un bon whisky et une bonne clope. Cependant, cela ne dura pas très longtemps un homme éméché était venu me draguer d’une manière que je n’appréciais guère, je le fis donc déguerpir assez violemment, ce qui ne plaisait pas au barman.

En effet, il pouvait l’être, l’homme que j’avais repoussé en avait bousculé un autre, les choses commençaient un peu à dégénérer. Je me décidais donc à finir ma bouteille et à quitter les lieux pour éviter tout problème. Je fini ma bouteille très rapidement sans doute un peu trop vite, car lorsque que je me levai pour quitter cet endroit j’eus la tête qui tournait, je parvins tout de même à me diriger vers la porte de sortie ; mais l’homme que j’avais repoussé était revenu, mais cette fois ci pas pour me draguer au contraire, il était contrarié et avait décidé de ramener deux de ses amis avec lui. Ces crétins me bloquaient le passage, je m’adressais donc à ces hommes :

- « Bon écoutez les gars, je n’ai pas envie de vous causez des problèmes, on a tous consommé et je doute que nous soyons en possession de nos moyens alors s’il vous plait laissé moi passer ! »

Les hommes étant totalement ivres, n’était pas de mon avis, l’un d’eux sorti une arme et la braqua sur moi.

* C’est pas vrai bordel ! Il faut toujours qu’on me fasse chier ! Et je ne peux pas sortir mon arme dans ce lieu public ! Réfléchit Alicia ! *

Albert était encore dans son bureau, il triait ses papiers et il avait une montagne de boulot. Cela faisait déjà deux bonnes heures qu’il y était et il n’en voyait toujours pas le bout. Il prit sa tête entre ses mains. Il en avait marre, ce n’était pas son truc de ranger ses affaires, c’était un homme de terrain pas une secrétaire. D’ailleurs il avait pensé à déléguer cette tâche à celle du rez-de-chaussée, mais elle avait déjà tellement de travail qu’il renonça à cette idée. Il alla ranger la pile qu’il venait de trier dans son casier d’archives situé au fond de son bureau. Il retourna sur sa chaise en s’affalant dessus. Pensif, il ne regrettait pas d’avoir intégré cette organisation, mais parfois son ancien emploi lui manquait un peu. Ici, les affaires s’enchaînaient sans arrêt, en plus il fallait mené une course effrénée contre les flics, sans se faire repérer en prime. Mais à côté, cela lui procurait un challenge intéressant, puis les méthodes étaient libres, pas de méthodes imposées, pas d’interrogatoire types, il faisait comme bon lui semblait et cette pensée dissipa ses pensées nostalgiques.

Il ne lui manquait plus qu’une chose. Une chose importante pour lui, un bleu… Il aimait former des jeunes recrues, transmettre ses compétences. Puis cela lui faisait une compagnie et en plus il pouvait leur faire faire le sale boulot, comme cette satanée paperasse. Il en avait assez de voir tous ces papiers et décida d’aller s’aérer un peu. Il prit les clés sur son bureau, son manteau qui traînait sur le dossier de sa chaise puis quitta son bureau en veillant à le verrouiller à double tour.
Il roulait tranquillement dans les rues de la ville fenêtre ouverte, fumant sa clope. Il décida de faire un détour afin de prendre l’air et pouvoir penser sans être dérangé. Albert adorait penser à tout et à rien. Il arriva devant un petit bar qui avait l’air sympathique, il se gara.

A peine il mit un pied à terre qu’il entendit des personnes discutées, enfin des hommes agressaient une jolie demoiselle plutôt. Albert s’en moqua au début, puis un des hommes braqua une arme sur elle, il décida d’intervenir. Il s’approcha lentement des hommes qui semblaient êtres ivres, s’alluma une clope d’un air nonchalant, puis il siffla comme si il s’adressait à un chien.

« Eh vous, les guignols, on va laisser la demoiselle tranquille, et me cherchez pas des noises, je ne suis pas d’humeur ce soir. » lança t-il en faisant apparaître le revolver qui était attaché à sa taille.

Il leur jeta un regard mauvais, déterminé, on pouvait lire dans ses yeux qu’il n’hésiterait pas à les descendre si l’occasion se présentait. Évidemment il n’avait pas le droit de se servir de son arme en public, surtout pour des broutilles comme celle-là, mais il ne cherchait qu’à les intimider, s’ils passaient à l’attaque il se défendrait à mains nues. Et il savait qu’il ne serait pas seul car il avait remarqué, en la voyant de plus près, que cette jeune femme faisait partie des tueurs à gages. Il espérait simplement qu’elle ne ferait pas de boulette.

*Et moi qui était parti pour me détendre et boire un coup, c’est bien ma veine… *

J’étais toujours devant ces hommes, et je cherchais une solution, quand j’aperçus un homme d’une quarantaine d’années entrer dans le bar. Il me parut un peu étrange à première vue, mais lorsqu’il s’adressa aux guignols comme il les avait appelés, je fus rassurée. Il devait sûrement faire partie des enquêteurs, je le remarquais à son attitude et surtout à son sang froid. Il avait un charisme spécial qui ne me laissait pas indifférente, cet homme me faisait ressentir de la sécurité et en même temps une inquiétude, deux sentiments opposés qui me plaisaient.

Lorsque les trois hommes le vit entrer, ils le dévisagèrent d’une manière mauvaise, l’un deux n’apprécia pas du tout la façon dont il leur avait parlé, il pointa son arme sur lui tout en disant :

- « C’est une blague papi ? Un conseil si tu ne veux pas d’ennui dégage et mêles-toi de ton cul! »

Je ne puis retenir mon rire, car lorsque l’on voyait la situation, un abruti ivre qui est face à une tueuse à gages et sûrement à un enquêteur, cela tournait vraiment au ridicule. L’homme armé m’entendit et se retourna de nouveau vers moi :

- « je peux savoir pour quelle raison tu rigoles, ça t’amuse d’avoir une arme pointée sur toi ! » il approcha son arme au niveau de ma gorge.

- « Pourquoi en plus d’être stupide, tu n’as pas d’humour ! » fis-je avec un léger sourire

Je n’aurais pas du lui dire cela, car en plus d’être stupide et sans humour, il était susceptible le petit, je regardais mon sauveur. C’était tout de même grâce à lui que j’avais pu saisir mon arme car il avait détourné leur regard par son arrivé très peu subtile. En le regardant, je vis qu’il m’observait, il avait l’air inquiet sûrement parce que j’avais saisi mon arme. Je me décidais à répondre à ce crétin, je m’avançais vers lui et je positionnais mon arme au niveau de l’abdomen tout en lui disant à l’oreille :

- « Écoute-moi bien, je suis fatiguée et je ne suis pas d’humeur, je n’hésiterais pas à te tuer ! Et je te conseille de t’en aller avec tes petits copains, car tu vois le monsieur qui te regarde d’une manière méchante, je pense qu'il t’a bien fait comprendre de me laisser tranquille et il n’a pas l’air très tendre avec les abrutis de ton genre, alors dégage ! »

L’abruti fut surpris par mon approche, il sortit une deuxième arme et la pointa sur « mon sauveur », il était en pleine panique, mais malheureusement pour lui, il pointa son arme sur un enquêteur qui n’avait pas l’air d’apprécier d’avoir une arme pointée sur lui.

Je regardais de nouveau, mon sauveur et lui fit un sourire, pour lui faire comprendre que l’on géraient la situation du moins je l’espérais. Je me demandais comment on allait faire pour lui retirer ses armes sans trop lui faire de bobo. En effet, il ne fallait pas faire trop de dégât, car nous étions dans un lieu public.

* Sauveur j’espère que tu as une idée, qui ne fera pas trop de bobo, car cela n’est pas trop mon point fort ! *

Lorsque l’homme qui agressait la jeune femme avait insulté Albert de vieux papi, celui-ci avait soulevé un sourcil. Certes, il n’était plus tout jeune mais de là à l’appeler papi il fallait pas pousser tout de même. La jeune femme jetait pas mal de regard vers lui, voulant lui montrer qu’il aimerait qu’il intervienne. Cependant elle gardait toute son assurance, malgré la situation qui était loin d’être évidente. Il ne fallait pas les tuer sinon l’organisation n’aimerait pas du tout. Elle sortit son arme et la pointa sur l’abdomen de son agresseur puis elle lui chuchota quelque chose à l’oreille. Suite à cela l’homme commençait à paniquer. Elle lui avait surement proféré des menaces mais que faisait-elle avec une arme ? Serait-il tombé sur une tueuse à gage ou une gérante qui sait ? Il n’aurait peut-être pas à intervenir après tout. Cependant le regard de la jeune femme lui faisait peur, elle semblait prête à tout. Il penchait tout de même pour une tueuse à gage car elle disposait d’une assurance et d’un sang-froid sans pareil. De plus ses yeux se dirigeaient souvent sur les points vitaux de ses agresseurs. Tandis qu’Albert réfléchissait l’homme pointa une arme dans sa direction, sa main légèrement tremblante.

*Il tient pas à sa vie lui…*

Albert fit mine d’être apeuré. Il reculait lentement.

« Ok, ok mec, te fâche pas hein ? Je m’en vais, faites ce que vous voulez, je m’en moque. » fit-il en faisant un clin d’œil discret vers la jeune femme.

L’agresseur reprenait contenance, les hommes se recentrèrent sur la jeune femme puis Albert disparut derrière la porte du bar. Il attendait le moment propice pour agir, espérant qu’elle ne ferait pas de boulette. Il resta contre le mur, s’alluma une cigarette puis tira une longue bouffée dessus. Les hommes recommençaient leurs menaces, la jeune femme semblait garder son sang froid et lançaient des répliques virulentes. Il entendit qu’ils commençaient à se mettre en mouvement surement pour s’en prendre à elle. Albert revint dans le bar :

« Hé ducon ! »

Il envoya sa cigarette d’un coup de majeur dans le front de l’homme le plus proche puis se mit à courir vers lui et lui décocha une droite qui le cloua au sol. Les deux autres se ruèrent sur lui.

*Pfff… Aucune technique…*

Le premier tenta de lui asséner un coup mais il bloqua son bras puis lui envoya une droite dans le nez, il sentit les os se brisés sous le coup. L’autre homme envoya son pied dans le ventre d’Albert, celui-ci ne pût l’esquiver et le reçut de plein fouet, il s’étala au sol. L’homme s’approchait doucement en souriant fier de son acte.

*Merde ! Je me fais vieux…*

Il fit craquer ses doigts, pensant avoir gagné. Albert se releva péniblement, sa respiration saccadée. Son agresseur lui envoya une droite mais Albert se pencha sur le côté et envoya son genou en plein dans les parties de ce jeune homme qui s’écroula au sol, se tordant de douleur. Il s’approcha de l’homme armé, désormais inconscient au sol, il poussa ses armes du pied. Il se tourna vers la jeune femme :

« Si on filait, ça pue ici. »

Il commençait à se diriger vers sa voiture, lui faisant signe de le suivre. Elle semblait à la fois soulagée et mécontente de n’avoir pu s’en charger, mais Albert avait eu peur de sa réaction, valait mieux éviter les boulettes. Esteban l’aurait renvoyé sur le champ.

Edit : Corrigé by Esteban & pense à te relire mon vieux XD

Après avoir entendue mon sauveur qui disait qu’il s’en allait, je fus surprise mais je compris vite grâce à son clin d’œil qu’il s’agissait d’une ruse. J’ignorais encore de quoi il s’agissait, mais je lui faisais confiance, de toute manière je n’avais pas vraiment le choix. Les abrutis étaient satisfaits de voir qu’il quittait le bar. L’homme qui pointait son arme sur moi, avait donc repositionnée l’arme avec laquelle il avait menaçait mon sauveur sur moi.

- « On peut dire que tu as des couilles toi ! Pointer deux armes sur une femme ! » fis-je avec ironie.

Ma remarque l’énerva davantage et son visage se crispa, il ordonna donc à ses deux sbires de pointer également leurs armes sur moi. A ce moment là, je n’avais plus que deux solutions soit le tuer et me débrouiller par la suite pour éliminer les deux autres, soit lâcher mon arme ce qui serait le mieux pour éviter les ennuis. Je ne puis prendre ma décision, car l’abruti devant moi me coupa…

- « Lâche ton arme ! Tu es faite ! »

Suite à cette phrase, je me suis mise à rire, car je trouvais la situation tout à fait ridicule. Je me reculais doucement pour bien lui montrer que j’allais rester calme, je rangeais mon arme puis sortis mon paquet de cigarettes, j’en pris une et l’alluma. J’attendais que mon sauveur arrive ou du moins je l’espérais, les hommes beuglèrent ensemble sur mon comportement. Ils commencèrent à se diriger de nouveau vers moi, quand soudain mon sauveur fit une entrée des plus classe que j’avais rarement vue.

Je le vis décrocher une droite à l’homme qui se trouvait à sa gauche, celui-ci tomba au sol puis les deux autres se ruèrent sur lui comme des fous. Je fus stupéfaite de la rapidité à laquelle se déroulaient les choses. Mon sauveur avait une nouvelle fois donné une droite dans le nez, je pue entendre les os se briser, il en restait maintenant plus qu’un debout, celui-ci était parvenu à le toucher, il se prit un coup de pied, mais se releva tout de même et donna un coup de genou dans les parties intimes de cet abruti. Après ces coups, je ne puis m’empêcher de le fixer et de siffler par admiration.

Une fois qu’il fut débarrassé de ces trois abrutis, il se tourna vers moi et me proposa de partir avec lui. IL sortit du bar et me faisait signe de le suivre, je restais immobile durant quelques secondes puis je me dirigeais vers la sortie pour le rejoindre à sa voiture tout en pensant :

- * Il aurait pu m’en laisser au moins hein…pff le vilain !! Il ne va pas s’en tirer comme ça ! Tout d’abord, je lui demande son prénom et ensuite pour le remercier je l’invite à prendre un verre ! Cette fois-ci sans ennuis !*

[edit : Corrigé par Albert =)]

Albert se dirigeait vers sa voiture suivi de la jeune femme qu’il venait d’aider. Il attendit la jeune femme devant sa voiture, c’était une Peugeot 206 noire. Ils montèrent dans la voiture. Albert pris quelques temps afin de recouvrer ses esprits et de se remettre du coup qu’il avait reçu. Celui-ci lui avait coupé le souffle et il n’était plus tout jeune. Il sentait la fraicheur de l’habitacle le parcourir, cela lui permit de se détendre et de raviver ses esprits. Il prit de grandes inspirations et souri a cette demoiselle qu’il ne connaissait pas afin de la rassurer. Il la regarda longuement, remarquant qu’elle était incroyablement sexy. Il la détaillait de haut en bas puis détourna le regard espérant qu’elle ne le prendrait pas pour un vieux pervers. Il n’avait aucune intention de faire quoi que ce soit avec elle et il était pas du genre a abuser des femmes. De plus il se sentait bizarre, il n’avait qu’une envie rentrer chez lui et se coucher. Il mit la clé dans le contact puis démarra, le moteur ronronna doucement. Il ne savait pas où il allait, de plus il ne connaissait rien de la fille qui était avec lui mise a part que c‘était surement une tueuse a gages, il décida donc d’en apprendre d’avantage.

« Alors c’est quoi ton nom ? Et que fais tu dans la vie ? »

Il posa cette question le plus naturellement du monde comme si il ne s’était rien passé auparavant. Il espérait qu’elle ne voudrait pas trop prolonger la soirée car il n’était pas dans son assiette. Il secoua la tête afin de recentrer son attention sur la route. Il avait l’impression que tout se déroulait au ralenti pourtant seulement quelques secondes s’étaient écoulées depuis qu’il avait posé sa question. Il arriva a un feu rouge , il s’arrêta puis tourna la tête vers la jeune femme attendant sa réponse, il faisait tout pour tenter de la regarder dans les yeux. Mais il était submergé par la grâce de ses formes, son esprit était en conflit, une partie voulait jouer son gentlemen et ne la regarder que dans les yeux et l’autre était obsédé par la beauté de la jeune femme qui avait un regard profond, envoutant.

Je me dirige toujours vers mon sauveur, plus exactement en direction de sa voiture. Je fus surprise de voir qu’il s’agissait d’une citadine. Ce qui pour moi traduisait deux choses, c’était sans doute une personne discrète et qui devait souvent bouger. J’étais enfin arrivée devant la portière, je me glissais à l’intérieure. Les sièges étaient assez confortables.

Je tournais le regard vers mon sauveur qui semblait épuisé. C’est vrai qu’il s’était tout de même pris un coup assez méchant. Je me mis à observer son visage de plus prés. Il avait des traits moyennement durs, cela lui donnait un air d’un homme solitaire et réservé. Je me rendis compte que lui aussi, il me regardait. Je constatais par ailleurs qu’il ne regardait pas que mon visage. Pour une fois, cela ne me dérangeait pas plus que ça ! Eh oui après tout, il m’a aidée donc il a droit à quelque privilège… je plaisante bien sûr…quoique… ! Trêve de débordement ! Je fus coupé net, par sa question ! Qu’est ce que j’allais répondre ?

Sa question avait été très claire et précise et dite de manière directe. Je compris qu’il s’agissait sans doute d’un homme travaillant dans la loi. Eh oui, maintenant que je faisais les rapprochements, la façon dont il s’était battu, la voiture et sa question ! Ma seule pensée fut : Eh merde ! Je tentais de répondre normalement, de manière décontractée :

"Je travaille dans l’immobilier, je suis indépendante et mon bureau s’est fait cambrioler il n’y a pas longtemps ! Alors pour l’instant je ne fais pas grand-chose ! " Je lui souris de manière naturelle puis reprit…
" Je m’appelle Alicia ! Et vous qu’elle est votre nom ! Je ne vais pas continuellement vous nommer mon sauveur ! " Je le regardais fixement, et lui souris naturellement.

Dans l’immobilier ! Putain Ali ! Ou tu as étais péché ça !!!

J’attendis qu’il me réponde quelque chose, avec une grande impatience. Je me sentis un peu stressée et à la fois contente de sa présence. Il me semblait être quelqu’un d’agréable, mais il avait un air un peu fatigué. Je n’allais donc pas l’embêter à prendre un verre ce soir.

Dommage les hommes aussi ténébreux se font si rare…tu passes encore à côté d’un bon coup Ali !