MESSAGE ASSEZ VIOLENT. VOUS POUVEZ DIRECTEMENT PASSER AU RP SUIVANT (qui est la découverte du corps qui est : ICI) SI VOUS NE SUPPORTEZ PAS. VOUS ÊTES PRÉVENUS.

Je suis en train de me promener seul dans une ruelle. J’erre sans but, je cherche la paix intérieur. Des voix dans ma tête me harcèlent depuis quelques heures, se faisant de plus en plus insistante, elles veulent que je tue, elles veulent me pousser dans mes plus sombres vices. Mais je ne veux pas les écouter, je ne dois pas tuer, cela est mal…

*Mais c’est si bon quand tes mains trempent dans la chair encore chaude…*

« NON !!! ARRÊTEZ MAUDITES VOIX »

J'halète, je saisis ma tête entre mes mains. Je m’assois contre un mur, il est froid, si froid, cela me vivifie, cela m’apaise. Je me balance lentement d’avant en arrière, je saisis mes genoux, c’est-ce qui me détend le plus, je ne veux plus entendre ces maudites voix. Elles m'insupportent, elles vont me rendre dingue. A moins que je le sois déjà… Non, ce n’est pas possible, je suis lucide et sain d’esprit. Je plais même aux femmes, j’arrive à les faire venir à la maison. Je suis toujours appuyé contre ce mur si froid, je tente de me calmer, les voix sont de plus en plus fortes, de plus en plus nombreuses, de plus en plus insupportable. J’ai faim, j’ai froid et chaud en même temps, mon cœur s’accélère et mon esprit ne parvient plus à avoir une pensée cohérente… Il faut que j’aime une femme, je dois trouver une femme qui m’aime, je dois le faire, je possède un charme hors du commun, je ne peut qu’y arriver.

*Et lui prendre son cœur, goûter sa chair et se délecter de sa souffrance…*

« Je vous ai DIT NON!!!!! »

Je secoue ma tête, je dois reprendre mes esprits, retrouver mon bon sens, je commence à marcher tout droit dans cette étroite ruelle. Elle est sombre, mal éclairée, je dois trouver un endroit plus fréquenté et sortir mon grand jeu de charme, séduire une jolie jeune femme et l’inviter chez moi, on pourra y vivre toute la vie comme cela. Nous vivrons dans un bonheur sans tâches, cela sera si bon. Je me réjouis déjà de cette pensée. Je commence à percevoir la lumière de la rue, des gens s’engagent dans ma direction, ils veulent surement ma peau, tout le monde s’est ligué contre mon désir de bonheur. Tout le monde m’en veut. Je me cache derrière une énorme poubelle qui traînait là, je distingue un petit couple, ils sourient et marche en direction d’un recoin, à l’abri du regard des passants, l’homme a une lueur d’envie dans les yeux. La femme est jolie, elle lui fait un clin d’œil, elle me semble si douce et délicate, je dois trouver un moyen de lui parler. Ce n’est pas un couple en fait. Ils s’embrassent, l’homme commence à toucher sa poitrine, il lui veut du mal. Elle ne veut pas, j’en suis sûr, elle ne le repousse pas mais c’est car elle a peur, je la comprends il semble si dangereux. Je sors de l’ombre, j’attrape une pierre qui traînait par terre et l’abat de toutes mes forces sur le crâne de l’homme qui s‘écroule au sol. La pierre devient chaude et du sang se répand sur le sol, je la lâche. La femme hurle, surement de soulagement.

« Qu’est-ce que… Mais vous êtes un MONSTRE !!!! »

Elle a peur, mais je viens pourtant de la libérer, je lui fait mon plus beau sourire, mes cheveux sont en bataille, mais mon visage est si beau qu’elle doit être rassurée.

« Je suis votre dévoué sauveur belle demoiselle » dis-je en lui saisissant tendrement le bras

« Mais lâche moi espèce de monstre où je hurle !! » dit-elle en me giflant

Je ne sais plus ce que je fais, mon poing se dirige vers son nez, elle vacille, je la plaque au sol puis lui abat des coups. Je me met à rire, cette sensation revient, je me sens bien, je rigole de plus belle, son sang si chaud m’éclabousse. Je m’arrête, sa tête est hideuse, je me penche vers elle, lui caresse son joli visage. Elle semble si sereine, le toucher de sa peau m’excite. Un œil est resté intact, il est vert, il semble si beau…

*Il est à croquer, il doit être délicieux… *

J’ouvre ma bouche vers son œil, mes dents heurte quelque chose de mou et visqueux, je mords à pleine dents. Cela me comble de bonheur, maintenant je dois m’assurer que l’homme ne se relèvera plus. Lui, il semble répugnant, son odeur est gorgée de sexe et d’alcool, il ne doit continuer à vivre, il voulait me piquer ma fiancée après tout. Je reprends la pierre qui avait roulée quelques mètres plus loin puis m’applique à lui enfoncer autant que je peut dans le crâne. Voilà qui est mieux, cela m’a soulagé, les voix m’ont quittées, je dois rentrer chez moi, j’ai un dessert qui m’attend dans le frigo, cette femme de la veille, cette jolie rousse, quelle joie, je vais pouvoir me faire un festin de roi. Je m’en frotte les mains d’avance.

Edit by Esteban & Corrigé & Sadique va =D